Aujourd’hui, je viens vous parler de déco et plus particulièrement de stickers.

Nous avons emménagé dans notre maison il y a presque 2 ans et nous avons fait un choix peu original mais assez pratique et plutôt efficace au niveau des murs : du tout blanc, partout. Zéro prise de risques. Paparaignée voulait pouvoir changer l’agencement du mobilier, la destination et la déco des pièces en fonction des envies, des goûts, de l’évolution de notre vie, … sans contraintes. Il préfère donc miser sur « l’accessoirisation » qui reste parfois compliquée tout de même car il n’aime pas trop non plus le fait de faire des trous dans les murs pour accrocher un tableau ou une étagère. Il aime ce qui laisse peu de traces, la simplicité, la sobriété et ne veut jamais rien abîmer, rien d’irrémédiable. Aucun regret et la possibilité de revendre facilement plus tard (bref, il a dû trop regarder les émissions de Stéphane Plazza ;)).

Il faut dire que lorsque nous sommes arrivés, nous avons dû changer un certain nombre de choses, les tapisseries très marquées de chaque chambre n’étaient pas vraiment à notre goût et la moquette encore moins et il y a eu des travaux de plus grande ampleur à faire avant de se préoccuper de l’esthétique. A la fin du chantier, c’est un peu comme si nous emménagions dans une maison en grande partie « neuve » ce qui en a rajouté à la psychose de Paparaignée qui avait des sueurs froides si j’émettais l’idée de planter une pointe quelque part. J’avoue que je n’étais pas loin de la syncope moi-même à chaque fois que les garçons posaient une main sur un mur.

Puis nous nous sommes progressivement détendus et Paparaignée a accepté petit à petit que la maison vive. Nous avons accroché plus de tableaux, placé des petites pointes ça et là et même posé des meubles qui nécessitent de faire de bons gros trous. Mais le blanc des murs lui n’a pas bougé (mis à part quelques traces de mains, de feutres, de peinture de jouet, … dont nous tentons de faire abstraction 😉 )

Il y a quelques mois, nous avons entrepris de nouveaux aménagements, rien de spectaculaire mais une étape importante. Notre petit quittait son lit de bébé et notre grand son lit de « moyen » et tous les deux allaient se retrouver dans une chambre commune avec un lit de grand pour 2 tandis que l’ancienne chambre du plus petit deviendrait une salle de jeu. Bref, je me suis lancée dans la réorganisation et la déco de ces deux nouveaux espaces.

Et comme le hasard fait bien les choses, c’est à ce moment là que Pixers m’a contactée et m’a fait une jolie proposition : fouiner sur leur site et transformer un peu mon intérieur grâce à eux. L’occasion de tester autre chose que des murs blancs !

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Il y a presque deux mois, je vous parlais dans cet article d’une boutique de puériculture découverte il y a peu : Les Secrets d’Amy.

Les Secrets d’Amy, c’est une boutique qui s’attache à mettre en avant des produits choisis avec soin pour la qualité de leurs matériaux, de leur composition, de leur provenance et de leurs conditions de fabrication. Des produits bio,  respectueux de l’être humain et de l’environnement et du local le plus possible. Une puériculture raisonnée. Avec tout ça, c’est donc forcément également une boutique qui souhaite valoriser les produits artisanaux, un point de plus pour me plaire. Et parmi ceux-ci, j’ai eu la chance de pouvoir en choisir et en tester deux. Après plusieurs semaines d’utilisation, je viens vous les présenter ici et faire un petit bilan.

L’attache sucette

L’attache sucette, un accessoire que vous devez certainement connaître si vous avez ou avez eu un bébé dans votre entourage ! Ou si ce n’est pas le cas, un accessoire pour lequel vous allez craquer dans quelques minutes, qui se compose en général de perles ou de tissu décoratif et dont une extrémité est constituée d’une pince et l’autre, d’un fil qui s’accroche à la tétine de l’enfant. Elle permet d’attacher la tétine au vêtement de l’enfant ou ailleurs (poussette, cosy,…) et de ne pas la perdre. Nous n’en possédions pas pour Caillou ou plutôt, nous n’en possédions plus. Il en avait une, bébé, mais l’efficacité de la pince s’était rapidement altérée, elle ne se clipsait plus très bien après quelques utilisations (certes parfois un peu musclées lorsque Caillou la forçait à se détacher en tirant dessus). Bref, j’avais donc abandonné l’idée et l’attache sucette de Caillou avait atterri dans le coin poupée pour des bébés nettement moins remuant (pour qui l’attache ne présente donc aucun intérêt mais Caillou était ravi 😉 ).

Sauf que cet accessoire est tout de même vraiment pratique ! Qui plus est quand la tétine est entièrement en caoutchouc naturel comme chez nous, ce qui lui confère une propriété  que n’ont pas forcément les autres tétines : elle rebondit ! Une tétine qui tombe et qui roule, ça peut aller loin mais une tétine qui rebondit, ça peut se retrouver dans des endroits improbables jusqu’à ne plus se retrouver du tout. Bref, sans la fameuse attache, il faut donc acheter plus de tétines que nécessaire et jongler entre les pertes et les réapparitions soudaines.

J’étais donc ravie d’en faire à nouveau l’expérience ! Le retour de l’attache sucette tombait même à pic, car quelques temps auparavant, Caillou s’était mis à redoubler d’efforts pour trouver toutes les excuses possibles pour garder sa tétine avec lui sans arrêt, en particulier avec la diminution de l’allaitement et donc de la « tétine » naturelle 😉

Les attaches sucette de la boutique

Ce que j’aime
La provenance, les attaches sucettes sont fabriquées par la boutique en Provence, les perles sont en bois de cyprès et les pinces sont en bois ou en tissu
La personnalisation, on peut faire graver les lettres que l’on souhaite sur les perles. Une jolie idée cadeau donc et un moyen d’éviter les confusions s’il y a plusieurs bébés à la maison, pour la crèche, chez la nounou et ensuite à l’école pour la sieste, on sait tout de suite à qui est la tétine que l’on retrouve.
La solidité de la pince : mes attaches précédentes ayant succombé rapidement, c’était ma crainte première, d’autant que Caillou a maintenant la force de tirer dessus et ne manipule pas toujours les choses de manière conventionnelle. Et bien, je suis épatée, il semblerait que la pince des Secrets d’Amy soit comme le roseau, elle résiste à toute épreuve, plie mais ne rompt pas. Désormais, plus de sueurs froides lors des sorties car perdre la tétine chez soi, passe encore, la perdre sur les rails du métro alors que l’enfant est visiblement en besoin express de sieste , bon, …. Plus de Caillou pleurant (que dis-je hurlant), de ne pas retrouver sa tétine, sa « précieuse », vraisemblablement solution à tous ses maux (comme le sein mais le sein a demandé l’exil depuis peu). Et des parents sereins qui la voient en un clin d’oeil et ne passe pas trois heures par jour le dos courbé à se plier en quatre pour voir où elle a bien pu rouler. Bref un véritable achat de paix sociale !

Ce que Caillou aime
jouer avec la pince et exercer sa motricité fine sans risque, il a beau la manipuler, la presser, la tirer, essayer de l’ouvrir, la refermer, … elle reste intacte !
le hibou peint sur l’attache, un animal dont Caillou est fan et qui lui a fait rapidement adopter l’objet un peu comme un totem
les lettres de son prénom, il est encore petit mais avec un frère qui va à l’école et qui lui montre les lettres, il s’y intéresse et adore me demander « c’est quelle lettre ?, les lire, les triturer, les observer les répéter, …, j’ai donc une solution toute trouvée, en douceur et sans même s’en rendre compte pour l’apprentissage du prénom (arrêtez tout, on tient un concept là, le B-A BA et la méthode globale, c’est de la rigolade, faites place à l’attache sucette, fun et révolutionnaire ! )

Bilan : accessoire validé à 100% à retrouver sur le site de la boutique.

Le bola de grossesse

Alors, je vous arrête tout de suite avant de recevoir des tas de messages (ça c’est pour me donner l’illusion qu’une horde de fans suit mon blog comme ils liraient Voici ou Gala 😉 ), je ne suis pas enceinte, non, non. Je sors à peine la tête de l’eau, non en fait non mais je sors des couches et de l’allaitement, c’est déjà ça 😉
Alors un bola de grossesse, me direz-vous quel intérêt et bien vous allez voir que c’est un produit qui a des qualités insoupçonnées même sans bébé en devenir.

Le bola est un bijou que je n’ai jamais utilisé durant mes grossesses tout simplement parce que j’ignorais son existence. Je n’ai appris qu’après ce que c’était : un long pendentif aux origines indonésiennes qui tombe sur le ventre et dont la boule renferme une ou plusieurs billes émettant un son léger comme une clochette que le bébé peut percevoir dès 20 semaines dans le ventre de sa maman et qui aurait un effet apaisant. Après la naissance, on peut continuer à le porter, le bébé habitué continue ainsi à être bercé et rassuré dans nos bras par ce bruit familier.
Les bolas de la boutique sont fabriqués par les Secret d’Amy. La cage renfermant la bille est un alliage de fer/argent ou fer/cuivre selon les modèles, la chaîne également mais elle peut être en tissu aussi et la bille est en cuivre. Ils sont disponibles sur la boutique en cliquant ici mais vous pouvez aussi les retrouver sur la page Facebook de la boutique.

Ce que j’aime
– sans être enceinte, quand j’ai reçu le bola, j’y ai trouvé un intérêt non négligeable : j’étais sur la fin de notre allaitement et je peinais à faire arrêter Caillou. Le bola a constitué un bon début de transition, Caillou le regardait et jouait avec au lieu de s’occuper du sein. Une sorte de collier d’allaitement auquel il s’est véritablement attaché, et qu’il a gentiment nommé « maman hibou », surnom qu’il m’avait donné quelques temps auparavant et qu’il a reporté sur ce collier. Je me dis que si le lien avait été fait au travers de ce collier pendant la grossesse, ça aurait très bien fonctionné, Caillou est extrêmement réceptif aux sons, aux bruits, aux chants, …
– les matériaux, coloris, formes, me plaisent beaucoup, j’aime l’alliance du bijou argenté avec le cordon en tissu fleuri qui a un côté japonisant je trouve.

Ce que Caillou aime
la référence au hibou dans la forme de la cage du bola choisi, comme dit plus haut un animal qu’il apprécie particulièrement
le doux bruit de la bille, Caillou est très sensible au son et à la musique et ça lui a beaucoup plu de le secouer
la texture de la cage, il aime passer ses doigts dessus, ce n’est pas un bijou lisse, il a des reliefs ce qui donne un côté tactile appréciable pour les petites mains

Encore une fois, on approuve et qui sait, peut-être aurais-je un jour l’occasion de l’utiliser en situation 😉

Aujourd’hui, je viens vous parler d’une boutique que j’ai découverte il y a peu : Les Secrets d’Amy.

Les Secrets d’Amy, c’est une jeune entreprise basée dans le Sud de la France, près de Marseille, qui fait de la vente à distance d’articles de puériculture. Mais loin de la grande enseigne commerciale qui vend à tors et à travers tout ce qui peut-être lié de près ou de loin à l’univers des bébés, ici, c’est tout à fait le chemin inverse qui a été emprunté et c’est bien ce qui m’a séduite. Des articles sélectionnés avec soin pour accueillir votre bébé en toute sécurité et de manière responsable.
C’est ce que j’appellerais de la puériculture raisonnée.

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Le 30 novembre dernier, nous avons fêté l’anniversaire de Caillou ! Ses 2 ans !
Et là, je me dis que non ! Ce n’est pas possible ! Au même âge, Marmouset avait déjà un petit frère de 3 mois et moi, j’avais donc un petit bébé en plus ! Mais comment j’ai fait ?? Caillou me semble encore si petit… Serais-je atteinte du syndrome des mères qui ont du mal à voir leur bébé grandir ? Moi ???? Non, impossible ! Impossible et pourtant, …

Bref passons sur cet épisode que j’assume peu 😉 et revenons au sujet de cet article.
Si vous me suivez depuis le début, vous vous dites que je vais probablement vous présenter le fameux gâteau des 2 ans et vous vous demandez donc à quelle sauce nous avons décidé de le manger cette fois-ci ou plutôt quel héros ou quelle héroïne a eu l’honneur d’y siéger 😉  Car comme vous le savez, à 2 ans, le traditionnel muffin basique du premier anniversaire qui sert juste à marquer le coup et à s’entraîner à souffler laisse place au premier gâteau coloré et plus personnalisé.
Un gâteau réalisé à la demande, enfin je fais ce que je peux et j’oriente subtilement les choix au besoin (grrr mère indigne 😉 ). Un gâteau avec des figurines réalisées en pâte fimo car nous avons abandonné la pâte à sucre pour deux raisons : pour les garder (Marmouset était trop triste de ne pas pouvoir jouer indéfiniment avec) et parce qu’on ne les mangeait finalement jamais vraiment, on n’est pas suffisamment pâte à sucre donc ce serait trop de gâchis.

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Aujourd’hui, pour ne pas déroger à la règle annuelle des blogueuses et blogueurs parentaux, je publie notre petite wishlist de Noël !
Elle rassemble toutes nos idées cadeaux, nos envies, nos coups de coeur, de quoi peut-être vous inspirer pour vos petits de 2 à 4 ans environ puisqu’il s’agit de l’âge de nos monstrouilles (mais pas mal de jouets sélectionnés conviennent avant et après).

Dans cette liste, j’ai essayé de varier les plaisirs et les prix, certains peuvent paraître conséquents, voire très conséquents, l’idée étant parfois de préférer avoir un seul jouet de qualité, multifonctions, qui convient à plusieurs classes d’âge et qui pourra donc être commun aux enfants ou un cadeau regroupant plusieurs occasions Noël et anniversaires (car ici c’est assez proche) plutôt que des tonnes de jouets dont ils se lasseront, utilisables sur un temps réduit ou de moins bonne qualité. On peut aussi se mettre à plusieurs avec différents membre de la famille, cela évite les doublons et pallie le manque d’idées.

C’est donc parti pour la wishlist de Noël 2017 et pour s’y retrouver, je l’ai classée par thèmes !

Des jeux de société
Il paraît que ça revient à la mode, et ça nous arrange, nous sommes des fans inconditionnels depuis la première heure. Nous aimons les jeux de société en tout genre aussi bien pour nous adultes, que pour les petits et en la matière, il y a du monde et du niveau sur le marché !

  1. Vous connaissez certainement le Qui est-ce ? et bien vous allez adorer le Trouve qui je suis ?.
    Même principe mais le jeu est en bois, les dessins sont jolis et la parité est respectée oui car il faut bien l’avouer, dans le Qui est-ce ? ,  il y a genre 5 femmes donc forcément, on ne peut jamais les choisir sinon on perd plus rapidement 🙁
    Mais surtout, surtout, il est personnalisable ! Un gabarit pour recouper des photos ou images est fourni, on peut donc en profiter pour jouer avec les membres de sa famille histoire de mieux connaître les liens de parenté entre chaque personne ou pour s’amuser et apprendre avec plein de nomenclatures différentes (des personnages, des animaux mais aussi des fruits ou objets pourquoi pas). Bref, il y a de quoi varier les plaisirs et faire évoluer le jeu au gré des envies et des passions.
  2. Le dobble kids ( à partir de 4 ans)
    Pour ceux qui connaissent la version classique, c’est la même chose mais avec un peu moins de dessins et des dessins plus concrets, pas des symboles. Il s’agit d’un jeu de reconnaissance visuelle et de rapidité et vous allez vite vous prendre au jeu
  3. Le jeu du chaperon rouge
    Smart Games offre une excellente gamme de jeux et celui-ci en est un parmi tant d’autres. C’est un jeu de casse-tête qui développe la logique, la concentration et le repéarage dans l’espace en lançant des défis au joueur avec différents niveaux de difficultés. Il se joue seul mais on peut trouver des variantes à plusieurs. Les éléments du jeu sont placés sur le plateau et il faut placer les morceaux de chemin pour trouver comment le petit chaperon rouge peut rejoindre la maison.

 

Des livres
Même chose qu’en matière de jeux de société, il y en a tellement qu’on ne sait plus quoi choisir. Je me fie beaucoup, là encore, au visuel. Quand l’illustration, le graphisme, le coup de crayon me séduit particulièrement et quand rien que la couverture m’interroge, m’intrigue, me donne envie d’ouvrir l’album, le succès n’est plus très loin. J’aime tellement les albums jeunesse que si je pouvais, j’aurais une pièce entière remplie de cet objet. Une bibliothèque géante dédiée au monde de l’enfance.
Quelques petites pépites découvertes dernièrement mais la liste pourrait être infinie.

 

  1. La lumière allumée de Richard Marnier et Aude Maurel (à partir de 4 ans)
    Un magnifique album sur l’acceptation de la différence et l’ouverture sur le monde. J’ai eu l’occasion de le découvrir récemment et je résiste encore à son achat mais je ne sais pour combien de temps car j’ai littéralement craqué !
  2. Les animaux intrus de Bastien Contraire (dès 3 ans)
    Onze belles planches sur le thème des animaux avec intrus à retrouver.
  3. Les livres d’Astrid Desbordes et son petit héros Archibald (dès 3 ans) : Au lit !, Mon amour, Ce que papa m’a dit et plus récemment Ce que j’aime vraiment.
    Une découverte toute récente grâce à Minuscule Infini et je suis conquise par les aventures de ce personnage. Des albums qui traitent  avec bienveillance et poésie des sujets aussi divers que la fratrie, le cheminement de la vie, le sommeil ou la confiance en soi. Vous cherchez un personnage que votre enfant pourra suivre et qui soit tout sauf Tchoupi ou Peppa Pig, c’est ce qu’il vous faut, vous tomberez en amour pour cette auteure à coup sûr.
  4. Planète bidule de Françoise de Guibert (à partir de 3 ans)
    Un livre dont on est le héros pour les plus jeunes. L’histoire peut donc changer en fonction des choix de chacun 🙂
  5. Le mensonge de Catherine Grive et Frédérique Bertrand (à partir de 5 ans)
    Un album pour un peu plus grand donc mais je ne pouvais pas ne pas vous en parler tant la métaphore que l’on peut y découvrir est magnifique. Un livre sur le mensonge comme son non l’indique mais non moralisateur, un album qui dédramatise le mensonge et aide l’enfant à le dépasser.
  6. Et pour rester dans le thème de la lecture, pourquoi de pas profiter de Noël pour prendre un abonnement à un magazine.
    Marmouset l’a expérimenté l’année dernière grâce à ses grands parents qui lui avait acheté un premier numéro pour Noël et lui avait expliqué qu’il allait recevoir un magazine chaque mois dans sa boîte aux lettres. Et Marmouset a adoré ça ! Il a adoré avoir du courrier, adoré avoir son journal comme les grands, adoré attendre impatiemment son magazine, adoré le lire et le relire, adoré suivre les mêmes personnages et avoir ses activités habituelles à chaque nouveau numéro !
    Il existe différents types de magazines et il n’est pas toujours facile de choisir, vous pouvez tester en achetant un numéro avant l’abonnement.
    Si votre enfant est plutôt histoires :  Les belles histoires, Histoires pour les Petits ou Tralalire le raviront à coup sûr. Il existe aussi des librairies qui proposent un abonnement avec un livre à aller chercher chaque mois.
    Si votre enfant préfère découper, bricoler, fabriquer, cuisiner, colorier, vous pouvez plutôt vous tourner vers un magazine comme Graou
    Il existe aussi des magazines qui mêlent les deux comme Toupie ou Pomme d’Api par exemple.

 

Des jouets d’imitation
Très important pour la construction de l’enfant (enfin comme le reste en fait 😉 ) et parce qu’ils adorent faire comme papa, maman ou d’autres adultes. Il faut en profiter et ne pas hésiter car pas sûre qu’à l’adolescence, ils se battent encore pour passer le balai 😉 .

  1. Une poupée 
    J’ai un faible pour les poupées Rubens Barn, en tissu, souples, uniques et faites main. Toutes les couleurs de peau, cheveux et yeux sont disponibles pour que les enfants puissent choisir la poupée qu’ils souhaitent. Elles sont parfaites pour l’imitation, les poupées de la gamme Rubens Barn Original font la taille d’un nouveau né (50 cm) mais il y en a aussi des plus petites. Elles ont une anatomie réaliste que ce soit une poupée fille ou garçon, on trouvera le nombril, les tétons et le sexe, bref la poupée n’est pas asexuée comme c’est souvent le cas. On peut lui mettre un biberon, une tétine ou son pouce dans la bouche, on peut acheter des accessoires qui ne sont pas systématiquement roses pour les filles ni bleus pour les garçons mais simplement colorés pour tous. Et ce qui est génial avec ces poupées taille réelle, c’est qu’on peut aussi leur mettre des habits de nouveaux nés donc recycler et ne pas se ruiner en accessoires. ( une bonne excuse pour ne pas se séparer des vêtements de bébé 😉 )
  2. Un kit cirage
    Pour faire comme papa et maman (enfin ici c’est plutôt papa sur ce point) et apprendre à prendre soin de ses affaires. C’est le bon âge, ça aide au développement des compétences exécutives nécessaire à l’autonomie, bref, pour ceux pour qui je parlerais un langage inconnu, en gros, ça apprends la patience, la persévérance et l’organisation et puis surtout, ils adorent ça en fait, pouvoir faire seul ce genre d’activités pratiques. Et pour ce genre d’activités, jardin, entretien du linge, cuisine, … et tout le reste, vous pourrez trouver votre bonheur chez Manine Montessori.
  3. Un set d’explorateur
    Toujours chez Manine Montessori, pour observer la nature en toute gentillesse.

Les jeux  d’éveil : imagination et création

  1. Les Flockmen
    Des personnages en bois naturel, respectueux de la nature, à empiler, à peindre, pour jouer seul ou à deux en se défiant, pour créer un univers, … Vendus par 16, 32 ou 100.
  2. Des cercles sensoriels
    Flexibles, pour mettre dans un sac et jouer à reconnaître les textures, à les décrire, à exprimer son ressenti ou pour marcher dessus pieds nus et découvrir de nouvelles sensations.
  3. Les 12 amis de chez Grimm’s
    On ne présente plus la gamme de jouets Grimm’s, la marque du fameux arc-en-ciel. son jouet probablement le plus célèbre. Des jouets en bois peints à la main. Ici, 12 amis qui iront parfaitement avec l’arc-en-ciel pour des jeux de couleur, de construction ou simplement pour s’inventer un monde imaginaire.
  4. Le jeu des abeilles
    Reconnaissance des couleurs, motricité fine, coordination, concentration, maîtrise des positions spatiales pour ce joli jeu en bois d’hévéa de chez Plan Toys, entreprise certifiée engagée pour l’environnement et l’être humain. Pour associer, construire, apprendre, jouer seul ou à 2.
  5. Un village Hongrois
    15 pièces en bois éco-certifié au design traditionnel hongrois qui seraient parfaites pour ajouter un peu de vie autour de la jolie route en bois des enfants par exemple
  6. La planche de motricité Wobbel
    Un jeu d’équilibre pour toute la famille (jusque 100 kg), en bois et qui n’a de limite que l’imagination : se balancer, bercer les poupées, lire, se relaxer, s’entraîner, construire, passer dessus, passer dessous, se cacher, en faire un marche-pieds, une chaise, un cheval, un lit, une table … et en plus, elle est tellement jolie et épurée qu’elle serait parfaite en plein milieu du salon en mode déco !

 

Les jeux éducatifs

  1. Le jeu des émotions Make a face
    Un jouet en bois qui permet d’apprendre à identifier et à exprimer ses émotions. Vraiment important à l’âge où on se laisse facilement envahir par nos émotions et où on éprouve des difficultés à les contrôler. La seule manière de pouvoir les dépasser est de savoir les accueillir et les reconnaître, mettre des mots dessus, ce jeu est donc un bon moyen d’y arriver.
  2. La carte du monde aimantée Janod
    Une carte puzzle en bois pour découvrir le monde, avec 92 pièces aimantées représentant les pays et continents à défaire et replacer indéfiniment. Une initiation à la géographie de manière ludique et visuelle. Un cadeau idéal à l’âge ou Marmouset commence à nous questionner sur les différents pays, les animaux des différents continents, …
  3. Le Robot cubetto
    LE jeu connu et reconnu pour apprendre les bases de la programmation à partir de 4 ans. Oui vous avez bien lu, on est enfant de geek ou on ne l’est pas. Quelque chose me dit que Paparaignée s’amuserait autant que Marmouset avec ce jeu.
  4. Ze Geoanimo
    Un jeu de chez Djeco, donc forcément, déjà un gage de qualité. A partir de 3 ans, il permet de travailler l’orientation dans l’espace, la reproduction, la reconnaissance visuelle de manière très ludique puisqu’il s’agit de reproduire des animaux avec des formes à assembler d’après des modèles. Bien entendu, l’enfant peut aussi inventer librement ses propres assemblages.

 

Les objets/jouets un peu gadget
Parce qu’il en faut bien, juste un, qu’on aime se marrer et que sinon on pourrait paraître trop parfait, mwouahahahahahah (d’ailleurs je n’ai toujours pas la tirelire chat qui prend la pièce qu’on lui donne en faisant miaou ni le pouet pour vélo tant convoités et faisant partie de la wishlist de l’année dernière, avis à ceux qui cherchent encore mon cadeau de Noël, je dis ça je dis rien 😉 )

  • un coquetier dinosaure (z’avez vu, je reste soft quand même)

Et voilà, j’espère que cela vous inspirera ! Et si vous avez des découvertes à partager, des coups de coeur, n’hésitez pas vous aussi !

 

 

Au mois de novembre dernier (je sais ça date), je m’étais rendue au spot des e-fluent mum, le rendez-vous annuel des parents blogueurs et des parents connectés (et je vous en avais parlé ici), pour, entre autre, découvrir une marque, un produit, une innovation qui allait séduire la maman ou/et la femme que je suis. Et j’avais trouvé mon bonheur en tombant sous le charme d’un concept super sympa : la box couture made in Rozyli.

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Aujourd’hui, je viens tenter de vous convaincre d’arrêter définitivement les lingettes jetables pour le change de bébé !

C’est parti.
Répétez après moi : « je peux le faire, je peux le faire, je ne sais plus ce qu’est une lingette jetable, … »
Bon ok, je vais tenter une manière plus convaincante et surtout plus argumentée. Lire la suite

J’adore coudre !

Depuis que je me suis lancée sur d’autres choses que de simples ourlets de rideaux, depuis que j’ai acheté ma super machine à coudre, depuis que j’ai réussi à faire quelques petits vêtements pour les garçons et les bébés des copines, depuis que j’ai mon coin couture rien qu’à moi, j’ADORE coudre !
Pourtant je ne couds pas de manière intensive, j’aimerais pouvoir le faire chaque semaine, chaque jour même, mais entre le boulot et les petits, ce n’est pas simple et comme beaucoup de parents, mes petits plaisirs sont limités (et en plus, j’ai un chat, l’animal qui lorsque tu as enfin 5 minutes vient systématiquement s’allonger sur ton matériel, ta matière première ou toi). 

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Dès que je peux (et que Chatraignée me lâche les baskets), je m’octroie donc ce petit moment de détente et de satisfaction personnelle, une activité qui me calme tout en me défiant et qui m’apporte un petit plus à la fin, la possibilité de me dire « c’est moi qui l’ai fait ». Bref, tout ce dont j’ai besoin.
J’ai plein d’idées et plein d’envies et le net est une mine d’or, Pinterest regorge de réalisations, de tutoriels et de patrons, … Tout est à portée de main et on ne peut que réussir !

Pourtant, je n’avais pas encore osé tester beaucoup de choses, souvent les mêmes vêtements, toujours des patrons gratuits, peu de risques, des réalisations faciles pour démarrer et qui ne nécessitaient pas des heures d’essais ni de déceptions avant un résultat acceptable.

Et puis j’ai remarqué que mon fournisseur officiel de tutoriels pour les techniques de couture, j’ai nommé l’Etoile de coton, vendait également du tissu et des patrons.
Oui !  Grâce à ce site, j’avais appris à coudre des appliqués, poser des pressions, faire un point invisible et autre grands basiques, bref, j’avais appris tout ce que je sais et ça avait toujours été une réussite. Des vidéos précises, claires et abordables comme je les aime. C’est donc avec confiance que j’ai décidé de tester cette fois-ci un de leurs patrons.

 

Et c’est sur une paire de moufles que j’ai décidé de jeter mon dévolu, mes mains nues en pleine cour de récréation me suppliant de faire quelque chose pour elles et mes pauvres petits gants certes technologiques puisque tactiles me permettant de pianoter sur mon téléphone mais pas de me réchauffer, c’est bien dommage puisque c’est quand même leur fonction première. Bref, au diable l’utilisation du téléphone (un peu de sevrage quelques minutes par jour ne devrait pas me faire de mal, femme de geek sors de ce corps ! 😉 ) et bonjour douceur et chaleur ! 

Une commande de tissu, une impression de patron et quelques heures de main d’oeuvre plus tard, j’avais réussi l’impensable : coudre autre chose qu’un sarouel !


Bien entendu, je n’ai pas choisi la moufle de base, non, ce serait mal me connaître, mais la moufle à rabats mesdames, messieurs ! J’aimerais vous dire que c’est parce que je préfère toujours ce qu’il y a de plus compliqué mais outre l’excitation supérieure du défi, je dois avouer que j’ai surtout en moyenne 15 manteaux à fermer, 8 chaussures à lacer, 4 bonnets à remettre, trois fois par jour, 5 jours par semaine alors il me faut pouvoir libérer mes doigts facilement.
Et voilà le travail.

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Bon ok, ma couture sur le rabat n’est pas super magnifique mais c’est de ma faute, j’ai choisi une chute de jersey pour la partie à motifs et du sweat aurait été mieux. Mais elles ne sont pas mal quand même hein ?

Les plus des patrons de l’Etoile de coton
Le prix. Je n’y connais pas grand chose à vrai dire en tarif de patrons mais sachant que je le garderai à vie, qu’il comporte toutes les tailles et qu’avec un peu de travail, je pourrai donc, si je le souhaite, offrir des moufles à l’ensemble de ma famille à Noël prochain (si tu fais partie de ma famille, tu sais ce qui t’attends, ne me renie pas 😉 ), je me dis que ça vaut le coup.

Les indications avant de commencer à coudre. Tout y est.
Le détails des fournitures (que l’on peut acheter sur leur site si on veut être encore plus sûr de ne pas se tromper) avec les mesures exactes, les types de tissus à privilégier, ceux à éviter et pourquoi. 
Les mesures à prendre pour connaître sa taille et savoir par la suite à quelles lignes du patron se référer.
Le niveau de difficulté : ici deux étoiles sur trois.
Et même le petit mot gentil qui te motive si tu n’es plus bien sûr de toi : « Nous vous souhaitons beaucoup de plaisir à coudre ces moufles ». L’invitation au plaisir, forcément, qui n’y succomberait pas 😉

Le patron en lui-même : 4 couleurs bien distinctes pour les quatre tailles, des traits bien épais pour un découpage facile, et des marges de couture incluses. Dans les patrons gratuits dont j’ai pu me servir, ce n’était jamais le cas et j’avoue que c’est pour moi un gain de temps et un avantage. Ainsi, on reporte simplement le patron sur le tissu et on découpe en étant certain d’avoir une marge partout égale.

Tout le détail des opérations. De l’impression du patron à la dernière piqûre d’aiguille, en passant par la découpe. Schémas très clairs à l’appui et couleurs bien visibles pour différencier les différents tissus et face de tissus, flèches par ci, indications importantes par là, traits de couture bien visibles. On ne peut pas se tromper, à moins d’être très fatiguée (bon ok, je suis super crevée et j’ai dû commettre une mini erreur de rien du tout vite réparée mais chut on ne dit rien)

Des photos. Sur le site, lorsque l’on choisit un patron, on trouve avant même de choisir de l’acheter, les tissus dont on a besoin et les photos de la réalisation sous toutes ses coutures, avec différentes couleurs ou motifs.

 

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Tout ça pour te dire merci L’étoile de coton ! J’ai cousu des moufles grâce à toi, et à un mois du printemps, il était temps. Et puis, comme j’ai décidé de tout te dire, j’ai déjà un oeil envieux sur d’autres belles propositions de ton site pour de nouvelles cousettes à venir alors on va se revoir très vite !


Et si vous voulez vous lancez vous aussi, retrouvez les patrons de l’Etoile de coton et tout plein d’autres choses ici.

Dans mon dernier article que vous trouverez ici, je vous parlais de notre organisation en terme de bagages lorsque nous partons en vacances avec les enfants et j’évoquais rapidement notre « sac de survie ». Ce fameux sac qui contient l’indispensable à la survie des parents en milieu hostile, c’est-à-dire le nécessaire pour occuper, changer, nourrir les enfants lors du trajet en train ou en avion.

Depuis l’arrivée de Caillou, ce sac est devenu un peu petit, de l’eau et de la nourriture pour deux, des jouets différents, de quoi changer le plus petit et de quoi faire dormir le plus grand qui a décrété qu’il ne partait plus sans son doudou après n’en avoir pas voulu pendant plus de deux ans. Alors, cet été, ce sac, nous ne l’avons pas pris, ou plutôt, nous l’avons remplacé pour le plus grand plaisir de Marmouset  et le notre, par une valise juste à sa taille !

Une valise pour enfant donc, très facile à manipuler par le principal intéressé, avide de responsabilités (un peu trop), ça tombe bien. Et un bagage en moins à gérer pour nous, quel bonheur ! Un jeu d’enfant, et c’est le cas de le dire, pour lui, à 2 ans et demi que de s’en occuper.

Cette valise, c’est elle.

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Et c’est chez Trunki que nous l’avons repérée ! Une petite marque anglaise qui a commencé doucement et qui est maintenant numéro 1 de la valise pour enfant ! C’est dire ! 

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Crash test

La valise Trunki n’a que des avantages à nos yeux.

Son utilisation. La valise Trunki est multifonctions et c’est pour moi sa principale qualité ! Ce n’est pas juste une valise, c’est un véritable véhicule ! L’enfant peut la porter par les anses, la tirer à l’aide de la sangle mais il peut aussi s’asseoir dessus et se faire tirer par quelqu’un d’autre, ou encore l’utiliser comme un véritable porteur en se tenant aux deux poignées cornes situées à l’avant et en poussant avec ses pieds pour avancer seul. Cette dernière fonction en fait donc un véritable jouet qui s’utilise aussi à la maison. Même Caillou s’en est servi comme pousseur lorsqu’il venait d’acquérir la marche 🙂

Ses petits plus. La petite valise a tout d’une grande, des sangles intérieures pour maintenir ce qui s’y trouve, une longue poche intérieure pour ne pas perdre les petites affaires, deux fermoirs verrouillables à l’aide d’une clé en plastique solide attachée à la grande sangle.

Sa carrosserie. En effet, la valise est complètement personnalisable, et vraiment dans le détails, tout y passe, des enjoliveurs aux cornes, ce qui vous permettra de la créer complètement avec votre enfant et de ne jamais avoir la même que le voisin. La gamme des couleurs est large et vous pouvez également acheter des stickers pour la personnaliser encore plus. Il existe aussi des valises déjà « customisées » à thème où vous trouverez forcément votre bonheur, les véhicules (taxi, pompier, …), les animaux (chat, abeille, dinosaure … et même licorne), les personnages bien connus des enfants (le gruffalo, Hello Kitty).

Sa solidité et sa stabilité. Marmouset qui veut tout faire tout seul et c’est le but avec cette valise aime aussi foncer et même si ce n’est pas sa fonction première, c’est possible. La vitesse ajoutée à une mauvaise gestion des virages de temps à autre lui a donné le plaisir d’entrer en collision avec à peu près tout, êtres humains, poteau, mur, barrière,… et malgré cette utilisation intensive et intense de la valise, jamais de casse. Pour Marmouset non plus d’ailleurs, jamais de casse, j’ajouterai donc que la valise st stable également.

Sa garantie. Si toutefois il y avait un problème, elle est garantie 5 ans.

Son poids. Elle reste légère, même chargée, et pratique à porter, par ses deux anses, ou encore plus simple sur l’épaule avec la sangle, comme un sac à main si votre enfant en a marre (mais j’en doute) ou si vous devez vous dépêcher pour traverser la rue, s’il y a trop d’obstacles, un trottoir très haut à descendre, …

Sa taille. Suffisamment grande pour contenir ce qui se trouvait dans notre sac à dos de survie pour deux et même plus ou pour une bonne partie des affaires d’un petit voyageur, en tout cas l’essentiel, doudous, pyjama, livres, jouets, petites affaires. Mais compacte comme il faut puisque ses dimensions sont parfaites pour passer en bagage cabine en avion.

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Alors Trunki, ça change quoi au juste ?

Et bien, sur leur site, vous trouvez cette phrase qui résume à merveille l’esprit de la marque.

« Nous sommes une bande de grands enfants qui adorent créer des trucs chouettes pour rendre vos trajets amusants et vous redonner le sourire. »

Et je confirme, ici, depuis que nous avons adopté la valise, nos trajets sont réellement facilités. La gestion d’un bagage en moins certes, mais aussi plus d’affaires à emporter et surtout un Marmouset qui ne s’ennuie jamais et ne chouine plus, trop concentré à tirer sa valise ou à la conduire, tel un Schumacher des bacs à sables.

Version été ici avec en prime jambe dans le plâtre, merci Trunki, sans qui nous aurions dû porter un Marmouset pendant tout le trajet 

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Version hiver et sans jambe dans le plâtre !

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Si vous aussi, vous avez envie de craquer pour une valise Trunki, vous trouverez tous les renseignements utiles sur le site de la marque. Et comme Trunki ne fabrique plus que des valises, vous y rencontrerez aussi toutes sortes d’accessoires sur le thème du voyage, sac à dos imperméable, des boîtes de voyages, des coussins de voyages, des harnais de sécurité, des accessoires pour le confort en voiture, … Vous pouvez acheter ces produits sur le site ou directement en magasin dans les boutiques suivantes (uniquement à Paris pour l’instant).

 

HAD SO sas 102, Avenue de Saint-Ouen 75018 PARIS
Kids Travel Design 9/11, Rue des Lavandières 75001 PARIS
Le Bon Marché TSA 70710 75329 PARIS Cédex 07
Le Préau de Ferdinand 22, Rue St. Ferdinand 75017 PARIS
Les Marchandes de Jouets 83, Rue de Levis 75017 PARIS
Mini-Arty 49, Rue Caulaincourt 75018 PARIS
Small Gallery sarl 2, Place Charles Fillion 75017 PARIS
SONAT 178, Rue du Temple 75003 PARIS

 

Et parce Trunki a décidé de me faire confiance, vous pouvez participer à un super concours pour gagner deux Toddlepak juste là ! Courez-y ! 

Aujourd’hui, je viens vous parler lecture et plus particulièrement bande dessinée !

D’ordinaire, nous lisons plutôt des albums aux enfants, et Marmouset est, comme beaucoup d’enfants de son âge qui baignent dans les livres depuis leur premières couches ou presque, un petit bibliophile. Il peut rester assis sur son lit ou dans le coin lecture de la maison des heures durant à dévorer des piles de livres, les histoires du soir ne sont jamais assez nombreuses et les passages à la librairie se transforment en sitting pour essayer de lire tout ce qui est à sa portée !
Bref, j’avais envie qu’il puisse lire seul mais bien entendu, à bientôt 3 ans, Marmouset ne sait pas encore lire et ce n’est pas pour tout de suite. C’est vrai, il peut feuilleter des albums seul et il le fait régulièrement mais une image n’étant pas l’équivalent d’une action à chaque fois, il est plus difficile de comprendre un livre inconnu. Et, bien qu’à présent il soit capable d’imaginer une histoire ou de faire semblant d’en lire une qu’il connaît par coeur, ça va très vite et un album lui dure parfois moins d’une minute. Satisfaire sa soif de découvertes livresques demande donc un stock d’albums conséquent, des allers-retours à la bibliothèque fréquents et des passages à la librairie réguliers.

Il existe pourtant une solution de lecture qui permet souvent aux jeunes enfants de lire seul et plus longtemps : la bande dessinée.
Je n’y avais pas pensé pour Marmouset. Non pas que je sois contre la bande dessinée, au contraire mais ce type d’ouvrage demande tout de même quelques compétences à mon sens.

  • Savoir lire puisqu’il y a tout de même pas mal de texte.
  • Se repérer dans l’espace d’une page pour suivre les vignettes dans le bon ordre.
  • Etre capable de comprendre qu’un personnage présent 10 fois sur une page peut se référer à une seule et unique entité. Il est très fréquent à l’école que les enfants soient quelque peu perplexes et m’interrogent lorsque sur une seule et même page, se retrouve 10 fois le même personnage pour traduire une action rapide, une course, un moment d’excitation. Un chat qui joue avec une pelote de laine et met le chaos dans toute une chambre par exemple. Les enfants me disent alors : « oh il y a plein de chats maîtresse » ou « mais c’est qui les autres chats ? » .

Bref, je pensais Marmouset bien trop jeune pour cela.
Mais ça c’était avant comme dirait l’autre. Avant de découvrir The bande dessinée, j’ai nommé 

PETIT POILU

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Un album pour se divertir et passer un bon moment.

Déjà le titre, accrocheur, enfin moi ça m’a accroché en tout cas et Marmouset l’a tout de suite retenu et a donc très bien repéré le personnage principal.

Ensuite le personnage justement, une petite boule de poil simple et attachante qui peut très bien avoir l’âge de son lecteur et qui vit donc la même chose à la maison. Il permet au jeune lecteur de s’identifier et d’entrer plus facilement dans ses aventures.

Et puis le visuel aussi. Une bande dessinée pour les petits en tout point comparable à celles des grands, des images qui attirent l’oeil et du pep’s dans les couleurs choisies.

Enfin, le contenu. Chaque bande dessinée de Petit Poilu commence de la même manière dans un monde réel et tout à fait identifiable. Sur une planche, Petit Poilu comme chaque enfant se lève, s’adonne aux activités quotidiennes matinales (petit déjeuner, se laver, se vêtir, dire au revoir à ses parents, …) avant de partir pour l’école. Puis commencent ses aventures dont on ne sait jamais vraiment s’il s’agit d’un rêve, de son imagination débordante ou d’une véritable confrontation à un monde fabuleux puisque même lorsqu’à la fin de l’album, Petit Poilu revient dans son quotidien d’enfant lambda, il reste souvent une trace bien réelle de ce que l’on pouvait prendre pour aventures fantasmées. En tout les cas, la fin comme le début est toujours identique, Petit Poilu rentre chez lui, retrouve ses parents et se couche heureux malgré tant de péripéties !

Dans cette bande dessinée, pas de texte ce qui a l’avantage de la rendre complètement accessible dès le plus jeune âge en lecture autonome.

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Mon questionnement quand à la manière dont un petit de 3 ans pourrait réussir à manipuler et suivre une bande dessinée a trouvé réponse quasi immédiatement après la découverte puisque Marmouset a très vite adopté le fonctionnement de l’ouvrage avec succès. L’apparition d’un même personnage plusieurs fois par page ne lui a pas posé de problème, il a très bien compris que c’était toujours le même comme il a maîtrisé également assez facilement le sens de lecture.

 

Un album pour parler

Dans un premier temps, je l’ai aidé à « lire » car lorsque’il reçoit un livre, sa première demande après l’avoir feuilleté, observé, admiré est toujours « Allez, tu lis avec moi maman/papa? ». Je lui ai fait remarquer qu’il n’y avait pas de texte donc que je ne pouvais pas « lire » mais que nous allions raconter ensemble. Et je l’ai incité à décrire, à imaginer, à déduire, par la découverte, le jeu, des questionnements,…
Avec cette bande dessinée, un enfant peut aussi véritablement lire seul, cela lui prend du temps, le grand nombre d’images lui permet réellement de constituer une histoire et de stimuler son imagination. C’est ce que Marmouset fait désormais et je l’entends encore blablater et commenter avec beaucoup de sérieux tout ce qui se passe en tournant les pages.

Cette bande dessinée sans parole est donc un excellent support de langage puisqu’il permet de faire parler facilement un enfant, de voir ce qu’il comprend, de poser des questions pour stimuler son esprit de déduction. Je vais donc aussi pouvoir m’en servir en classe ! Car, force est de constater que j’ai à faire face à de plus en plus d’enfants dont l’esprit est trop rarement stimulé, qui ne savent pas imaginer et faire de liens et qui lorsqu’on leur pose une question pour voir s’ils ont compris une histoire ou une consigne, répondent tout et n’importe quoi dans l’espoir de tomber juste, de satisfaire l’adulte et d’être le premier à répondre.

 

Un album pour réfléchir et pour apprendre

A la fin de chaque album, un petit texte résume toute l’histoire, il peut être lu à l’enfant ou pas. Et en-dessous de ce résumé, on trouve un petit encart intitulé « Le petit message qui fait grandir d’un poil« .

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Car Petit Poilu ne sert pas qu’à divertir, il permet à chaque album de tirer une leçon, d’apprendre, de réfléchir, de s’interroger. Il est un excellent support pour mettre des mots sur des sentiments, des sensations bien connues des enfants et de chacun (la colère, la peine, …), pour aborder des thèmes complexes plus facilement (l’environnement, la justice,…), pour donner des informations sur des notions importantes, pour ouvrir des discussions et même pour philosopher un peu. (Encore une idée de support pour alimenter un atelier philo en maternelle pas exemple, décidément Petit Poilu, je t’aime beaucoup !)

Et il se trouve que le premier tome aborde l’un de mes thèmes de prédilection (c’est un signe !), quelque chose auquel j’aimerais commencer à sensibiliser Marmouset : la protection de l’environnement (jeter les déchets à la poubelle, l’impact sur la nature, les animaux, …), et paf, d’une pierre deux coups, Petit Poilu m’aide à réaliser une partie de mon engagement dans le Défi green blog ! (Petit Poilu, toi et moi c’est pour la vie maintenant ! 😉 )

 

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Vous l’aurez compris, ici, dès le tome 1, on a adhéré tout de suite à cette bande dessinée pour les petits. Enfin pour les petits, pour les petits, c’est vite dit ! Allez, j’avoue tout, vous l’aurez compris, j’y ai pris goût moi aussi ! Et mon petit doigt me dit qu’il y aura du Petit Poilu à l’anniversaire de Marmouset pour son plus grand bonheur (et un peu le mien aussi).