Les vide-greniers reprendront à la rentrée de septembre mais je ne vous avais pas fait part des jolies trouvailles de juin, les voici donc. De quoi satisfaire l’oeil ou qui sait, peut-être rappeler des souvenirs à certains, une dose de madeleines de Proust, ça fait toujours du bien.
Aujourd’hui, je viens vous parler de déco et plus particulièrement de stickers.
Nous avons emménagé dans notre maison il y a presque 2 ans et nous avons fait un choix peu original mais assez pratique et plutôt efficace au niveau des murs : du tout blanc, partout. Zéro prise de risques. Paparaignée voulait pouvoir changer l’agencement du mobilier, la destination et la déco des pièces en fonction des envies, des goûts, de l’évolution de notre vie, … sans contraintes. Il préfère donc miser sur « l’accessoirisation » qui reste parfois compliquée tout de même car il n’aime pas trop non plus le fait de faire des trous dans les murs pour accrocher un tableau ou une étagère. Il aime ce qui laisse peu de traces, la simplicité, la sobriété et ne veut jamais rien abîmer, rien d’irrémédiable. Aucun regret et la possibilité de revendre facilement plus tard (bref, il a dû trop regarder les émissions de Stéphane Plazza ;)).
Il faut dire que lorsque nous sommes arrivés, nous avons dû changer un certain nombre de choses, les tapisseries très marquées de chaque chambre n’étaient pas vraiment à notre goût et la moquette encore moins et il y a eu des travaux de plus grande ampleur à faire avant de se préoccuper de l’esthétique. A la fin du chantier, c’est un peu comme si nous emménagions dans une maison en grande partie « neuve » ce qui en a rajouté à la psychose de Paparaignée qui avait des sueurs froides si j’émettais l’idée de planter une pointe quelque part. J’avoue que je n’étais pas loin de la syncope moi-même à chaque fois que les garçons posaient une main sur un mur.
Puis nous nous sommes progressivement détendus et Paparaignée a accepté petit à petit que la maison vive. Nous avons accroché plus de tableaux, placé des petites pointes ça et là et même posé des meubles qui nécessitent de faire de bons gros trous. Mais le blanc des murs lui n’a pas bougé (mis à part quelques traces de mains, de feutres, de peinture de jouet, … dont nous tentons de faire abstraction 😉 )
Il y a quelques mois, nous avons entrepris de nouveaux aménagements, rien de spectaculaire mais une étape importante. Notre petit quittait son lit de bébé et notre grand son lit de « moyen » et tous les deux allaient se retrouver dans une chambre commune avec un lit de grand pour 2 tandis que l’ancienne chambre du plus petit deviendrait une salle de jeu. Bref, je me suis lancée dans la réorganisation et la déco de ces deux nouveaux espaces.
Et comme le hasard fait bien les choses, c’est à ce moment là que Pixers m’a contactée et m’a fait une jolie proposition : fouiner sur leur site et transformer un peu mon intérieur grâce à eux. L’occasion de tester autre chose que des murs blancs !
Chaque année, il y a ce moment où mon coeur se met à battre un peu plus fort.
Ce moment où il faut dire au revoir et même adieu parfois.
Cette année, trois de mes grands déménagent et les autres partent au CP et même si on partage le même bâtiment et que je les reverrai souvent, cela faisait 2 ans que je les suivais, 4 jours par semaine (vu que je suis à temps partiel), soit 1440 heures environ passées avec eux et probablement pas loin de deux fois plus à être sans eux mais à travailler pour eux, à penser à eux ! Ce n’est pas rien quand on y réfléchit !
Bref, en cette fin d’année, mon coeur s’est un peu emballé de les voir franchir l’étape suivante, prendre un nouvel envol. Des larmes ont coulé sur les joues de certains parents, l’émotion était grande chez les adultes et les remerciements très touchants. La séparation est arrivée, pour certains enfants comme un vendredi des plus classiques et pour d’autres avec un peu plus de doutes et d’appréhension dans le regard. A ceux-ci, j’ai fait mes recommandations habituelles, en leur chuchotant à l’oreille, tour à tour, au moment du câlin final, les qualités que j’avais vues en eux tout au long de l’année avec pour dernière phrase, notre nouvel adage : « Et surtout ne laisse jamais personne te dire le contraire » (merci Elise Gravel).
Mes élèves, ces mêmes élèves qui m’avaient déjà fait battre le coeur avant même de les rencontrer.
La rentrée et le dernier jour d’école ont cela d’identique finalement et ils se ressemblent bien plus qu’on ne croit.
Le coeur bat de la même manière.
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